[Et si …] faire l’école buissonnière était la nouvelle clé de l’efficacité ?
[Et si …] faire l’école buissonnière était la nouvelle clé de l’efficacité ?
Dans le tumulte de nos vies professionnelles, où l’efficacité est reine, l’idée de « faire une pause » est souvent teintée de culpabilité. Pourtant, une réflexion partagée récemment par Alexandra Fleury de Blooming & Co nous invite à reconsidérer cette notion, en particulier durant la période estivale. Et si, loin d’être une perte de temps, « faire l’école buissonnière » était en réalité une stratégie redoutable pour nourrir notre créativité et notre performance ? Nous avons été interpellés par cette approche et souhaitons partager avec vous les grandes lignes de sa pensée. L’article original pose un diagnostic que beaucoup reconnaîtront : notre environnement de travail, saturé d’informations et de routines, tend à mettre notre créativité sous cloche. L’inspiration, qui a besoin d’espace et d’imprévu pour s’épanouir, finit par suffoquer dans le carcan de nos « to-do lists ». La métaphore utilisée est celle d’un jardin trop parfait, trop maîtrisé, qui en devient stérile. Face à cela, [...]
Dans le tumulte de nos vies professionnelles, où l’efficacité est reine, l’idée de « faire une pause » est souvent teintée de culpabilité. Pourtant, une réflexion partagée récemment par Alexandra Fleury de Blooming & Co nous invite à reconsidérer cette notion, en particulier durant la période estivale. Et si, loin d’être une perte de temps, « faire l’école buissonnière » était en réalité une stratégie redoutable pour nourrir notre créativité et notre performance ? Nous avons été interpellés par cette approche et souhaitons partager avec vous les grandes lignes de sa pensée.
©Alexandra Fleury – Blooming & Co – Éco-working 2025 – Nature of work : l’Été buissonnier
L’article original pose un diagnostic que beaucoup reconnaîtront : notre environnement de travail, saturé d’informations et de routines, tend à mettre notre créativité sous cloche. L’inspiration, qui a besoin d’espace et d’imprévu pour s’épanouir, finit par suffoquer dans le carcan de nos « to-do lists ». La métaphore utilisée est celle d’un jardin trop parfait, trop maîtrisé, qui en devient stérile.
Face à cela, la proposition est de réhabiliter « l’école buissonnière » comme un super-pouvoir professionnel. Il ne s’agit pas de fuir ses responsabilités, mais d’adopter consciemment une posture différente, basée sur trois piliers :
- Sortir du cadre pour éveiller l’esprit : Changer d’environnement physique est un moyen puissant de casser nos schémas de pensée habituels et de forcer notre cerveau à créer de nouvelles connexions.
- Se reconnecter au monde naturel : L’article souligne l’impact scientifiquement prouvé de la nature sur notre capacité à nous concentrer et à innover. Le contact avec un environnement naturel capte notre attention sans effort (la « fascination douce »), libérant ainsi des ressources cognitives pour le vagabondage de l’esprit, si propice aux associations d’idées.
- Accueillir le non-planifié : La créativité jaillit rarement sur commande. En s’autorisant des moments de flânerie et d’exploration sans but, on crée les conditions idéales pour que les solutions originales émergent d’elles-mêmes.
©Alexandra Fleury – Blooming & Co – Éco-working 2025 – Et si on mangeait mieux demain par Foodchéri – Ed. Marabout, 2021
Cette vision de « l’Été Buissonnier » résonne profondément avec notre propre philosophie chez Blooming & Co-Éco-working. Elle nous rappelle qu’un travail efficace n’est pas forcément un travail acharné. C’est un travail intelligent, qui respecte nos rythmes et qui sait puiser son inspiration à des sources inattendues. En définitive, peut-être que la question n’est pas de savoir si nous avons le temps de faire une pause, mais si nous avons les moyens de nous en passer.
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Article original inspirant cette réflexion disponible sur LinkedIn : [Et si …] L’Été Buissonnier : pour réveiller votre créativité par Alexandra Fleury.